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Partage et témoignage
J'aime bien le travail manuel car il me procure une satisfaction que rien ne peut égaler.
Je me suis donc lancé dans la réalisation ou plutôt la réparation de ma selle moto après avoir fait des recherches sur le net sur les différentes possibilités qui s’offraient a mois pour y arriver.Apres mure réflexion, je me suis dit que je pouvais le faire, mais comme il me manquai des éléments et procédures détaillé, j'ai décidé de compléter mes recherche sur le net en partageant et témoignant de mon expérience sur ce blog pour apporter les informations que je n'avais pas su trouver sur le web.
De plus, la plupart des témoignages que l'on trouvent, sont livrés par des professionnels, tant mieux. Mais il est également rassurant d'avoir celui d'un débutant auquel il est parfois plus facile de s'identifier.
Bonne lecture.
Si je l ai fait, et que tu est arrivé jusqu'ici, tu doit pouvoir y arriver .
T'a pas d'argent mais tes mains valent de l'or, tu vas connaitre la grande satisfaction du
"Fait Main a La Maison" Hand Made & Home Built.
Les selles de chez Harley... bref c'est du stock comme on dit.
En générale la selle c'est la parti un peut délaissé, celle qui arrive a la fin, pour le mécanicien c'est pas vraiment de la mécanique.
Mais c'est quant même la dessus qu'il vas s’asseoir, c'est par la qu'il rentre vraiment en contact avec la moto au niveau physique. On c'est que la sensation de confort en customisation n'est pas prioritaire, il y a la sensation procuré par la conduite, la position en moto, du buste, des jambes, des mains, offre beaucoup pus de variante qu'une voiture.
La hauteur du centre de gravité change énormément les sensations de conduite, sachant que plus il descent plus elles sont fortes et le simple fait de passer d'un selle bien moelleuses avec plusieurs centimètres de mousses a quelque chose de nettement plus mince radicalise incroyablement ce ressenti.
En fait rouler sur le cadre avec une serviette de plage est une expérience qu'il faut connaitre et qui j'imagine peut donner un avant gout du Rigide...
Donc pour être sur de terminer j ai commencé par la fin, j ai fait la selle en premier.
Si la priorité n'est pas le confort, la solidité en est une, alors le cuir s'impose, les intempérie finissent par bouffer les coutures des selles stock et lorsque vous recousais le revêtement est tellement fin qu'il ne tarde pas a lâcher lui aussi.
Lorsque vous faite une recherche "SELLE EN CUIR HARLEY" vous tombez immédiatement, sur ces très jolies petites celle solo qui ce montes sur ressort et qui sont du plus bel effet sur des cadres rigide, venant contrebalancé la longue diagonale qui monte de la roue arrière par un trait horizontale qui rempli a la perfection le vide de la cuvette formé par la roue et le cadre vue de profil .
Une magnifique réalisation de SLEDHEAD CUSTOM CYCLES (la selle parfaitement centré entre le réservoir et le garde boue, avec l'avant et l’arrière au même niveau, c'est assé rare pour être mentionné)
Il s'agit a mon sens d'une performance d'ordre esthétique qui allège pour l’œil tout l’arrière du véhicule et qu'il est impossible de reproduire sur le déjà très horizontale cadre de nos sportster avec le quel la selle en forme d'accent vient luter et contrarié la ligne.
Encore une très belle réalisation, pourtant il y a quelque chose d 'inapproprié esthétiquement entre ce cadre et cette selle.
Ce genre de compromit frustrant, 'c'est pas mon genre.
J'assume mon cadre stock et la selle solo qui va avec. mais ce serait peut être l'occasion de choisire sa couleur voir d'y inclure une de ces joli décoration que l' on peut apercevoir en cuir repoussé
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Une selle sans motif ça peut être déjà magnifique.
Voici un exemple de cuir ou le travaille de la couleur en dégradé ajouté au vieillissement artificiel (ils l'ont apparemment torturé avec un fil de fer) donne un caractère des plus esthétique, "simple is beautiful".
Mais il y a aussi les bavards, ceux qui ont quelque chose a dire, ils leur faut donc un motif, un symbole, un signe de raliment, l'homme est un animal grégaire.
Je vais être direct, puisque l'on rentre dans le domaine des goûts et des couleurs, il y a l'art profane qui est l’expression de nos névroses et il y a l"art sacré (cela mériterais un long développement).
Apres avoir exercé professionnellement dans la première catégorie toute ma vie durant, je me suis retiré et pratique maintenant comme un amateur dans la seconde.
Le motif doit tenir conte de la technique utilisé a savoir l'échelle a la qu'elle il sera réalise et des outils pour le réaliser. Ce sont les premières contraintes qui vont limiter la quantité de détailles que l'on va pouvoirs exprimer.
La forme des contours de votre motif détermine les outils que vous devrez acquérir.
On trouve sur le net des tableaux ou l'outillage est exprimé en millimètre cela est indispensable pour le choisir.
En dessinant le motif ou après le dessin terminé, on doit imaginer avec qu'elle outil on mettra le cuir en forme cela est un peut aléatoire lorsque l'on ne la jamais fait mais pas vraiment difficile.
Pour décalquer le motif sur le cuir seul les contours sont utile,
Mais il s'agit tout de même de réaliser un bas relief dont on peut accentuer la profondeur par différentes techniques dont celle de l'ombrage. Je conseille donc d'ombrer le motif l'or de sa réalisation. C'est un travail supplémentaire qui est payant l'or du rendu final, car les outils permettent aisément de reproduire cet ombrage.
Il s'agit d'une technique plus proche du dessin et de l'illustration mais qui est aisément transférable dans le modelage du cuir même si cela ne semble pas très courant.
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Voici un exemple ou la décoration (les fleurs de chaque coté du crane) vient gêner la lecture du motif principale au lieu de le mettre en valeur.
Sur la gauche de ce croquis des recherches de décoration en études de nuages qui au final ne seront pas retenu, l'équilibre entre le motif centrale est la décoration qui l'entoure est toujours un exercice périlleux, le plus dur étant de s’arrêter a temps et ne pas vouloir trop en faire.
Cela double le temps de travail et au final n'apporte pas de réel plus. Je conseillerai donc dans la plus par des cas de s'abstenir et de sans tenir a un joli traitement de surface unit pour mettre le motif en valeur.Ce n'est pourtant pas ce que j ai fait.
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Inutile de mouiller le cuire ou de passer au crayon l'envers du dessin au contraire, cela fera gondoler votre feuille de calque dans le premier ca a le salira dans le deuxieme .
Le cuir est tellement tendre qu'il va marquer le passage d'une pointe de crayon ou de stylo par simple pression et il est inutile d'appuyer plus.
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Sur les conseilles de mon mécanicien j'ai supprimé le renflement a l’arrière qui était un peut trop proéminent.
Je l'ai simplement découpé au couteau et lissé au fer a souder. Il existe des outils de professionnel plus approprié qui permettent un travaille plus facile, propre et rapide.
Il est également possible de ce procuré de la mousse de "haute densité" et de la sculpter comme bon vous semble.
Voici le rendu final, cela est largement suffisant du fait qu'il sera recouvert part du cuir de 2,5 mm d’épaisseur.
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LE SWIVEL
C'est le premier outil avec le quel on va ce familiariser. il incise le cuir, toute erreurs est irrattrapable donc forcement ont est un peut tendu au début.
Les pro. disent qu'il faut toujours le tenir bien droit ce n'est pas du tout ce que je fait et j'ai tjrs pas comprit où est le problème...? Peut être avec du cuir plus épais c'est important...?Première règle on ne le pousse jamais, dérapage assuré !
C'est beaucoup moins maniable qu'un stylo celui que j'utilise correspond a du bas de gamme, mais pour débuter je ne lui trouve aucun défault.
ici on vois bien la tranché que crée cet outil par rapport au dessin qui a été décalqué.
Il ne faut que quelques minutes pour ce familiariser et rapidement on peut accélérer, j'ai adorer travailler avec cet outil.
Il doit être affûté de temps en temps, les maniaques le polissent.
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les matoirs sont des tampons qui servent a emboutir le cuir pour mettre en valeur les parties épargné, ils créent une zone d'ombre accentué par un traitement de surface de type quadrillage ou autre.Voici ma collection de matoir, 10 au totale ils ont été choisi en fonction du motif et ils ont parfaitement rempli leur rôle. J'aurais mémé pu faire l’économie d'un ou deux
Il y en a plusieurs familles qui portent chacune un nom.
Il suffit de frapper au maillé pour obtenir la marque ou même sans pour un travaille de surface
Si les matoirs valent tous a peut prêt le même prix, les maillets peuvent monter a plus de 150 euros, il faudrait vraiment pouvoir les essayer, parce-que je ne voie pas du tout ce que l'on pourrait rajouter au mien qui en a couté 18 (avis d'un débutant).
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Le cuir doit être mouillé pour pouvoir être modelé, il faut une qualité dite "peau de collet tannage végétale de 2, 5 mm d’épaisseur et plus.
Une foi mouillé il devient étonnamment tendre, il vaux mieux avoir les ongles coupés ras pour ne pas le marquer intempestivement.
Il s'agit d'un travaille de précision
Cela offre donc pas mal de libertés suivant la profondeur a la quelle vous choisissez de travailler.
Mon cuir faisait un peut moins de 2,5 mm et je suis très curieux d’essayer sur du plus épais.
J'ai trouvé ce matériaux très agréable a travailler car il n offre que très peut de résistance par rapport au bois ou au métal ou même le plâtre.
Le cuir est un matériaux précieux de par le tannage qui est un procédé long est coûteux, j'ai donc commandé juste ce qu'il me fallait pour réaliser la selle. 150€ de cuir et 150€ d'outillage.
Ici le modelage de la pièce central est terminé et était déjà suffisant pour passer une foi posé a la teinture, mais j'avais une autre idée derrière la tète.
Entre la recherche des motifs originaux le traçage, la découpe et le modelage il y a facilement une semaine de travail car les détailles très nombreux ralentisse l’exécution, et c'est loin d’être parfaitement exécuté.
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Voici le patron finale des autres pièces de cuir a assembler on peut voir deux trous déjà fait et les marques de ceux a faire, mais au final je vais être obligé de les doubler pour obtenir l’esthétique désiré.
Je vous joint le tuto du tressage d'Eric Denekene.
Tressage de type "S" pour la jonction de deux pièces de cuir
Dans ma recherche je me suis aperçu que les spécialistes de ce genre de chose étaient les Mexicains.
Comme il est dit dans la video pour faire cinq centimètre de tressage il faut cinquante centimètre de lacet sa parer incroyable mais c'est vrai !
Ici j'ai 80 cm de tressage, 80 par 10 = 8 mètres de lacet a faire passer dans chaque trous ! (au début)
C'est vraiment la partie que j ai trouvé la plus fastidieuse a faire, soit une journée entière de tressage. Il reste la possibilité de travailler avec des brins plus cours puisqu'il est tout a fait possible de reprendre la manœuvre sans que cela ce vois a l’œil avec un nouveau brins.
Le résultat donne quant même un effet de solidité et chose étonnante on me demande toujours si c'est moi qui est fait le tressage, comme si cela paraissé la chose la plus difficile alors que j ai juste trouvé sa "bête est méchant".
P.S. vous remarquerez que j ai pris soin de passer la teinture sur la partie qui est sensé etre caché par le tressage au ca ou il ne le serait pas complètement car cette parti n'est plus accessible après par le pinceau. Bien m'en a prit, car ce fut exactement le ca.
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C'est alors que surgit en moi l'idée d'ornementer les cotés de la selle, ce n'est jamais le ca car les selles qui reçoivent de l'ornementation en cuir modelé n'ont pas suffisamment d'épaisseur et donc de surfasses pour apposer des motifs, je n'y avais donc pas songé.
Me revoici parti dans la recherche de motifs assortis avec le dessus mais différent, j'aime la variété et la nouveauté, en gardant quant même une symétrie droite gauche.
Le devant et le derrière en cour de réalisation.
J'aurais dû bien entendu réaliser ce travail avant le tressage car je me suis retrouvé avec une épaisseur supplémentaire qui ma empêché un contacte franc et directe avec le marbre pendant le modelage mais rien d'insurmontable.C'est le moment d'aborder un détail technique concernant le "marbre ou granite" polie qui sert de support au cuir durant le modelage. Il faut en effet une pièce lisse dur et lourde pour ne pas occasionner de rebonds pendant la frappe du maillet.
Je me suis confectionné, a l'aide d'une dalle de jardin en ciment ("3€") sur la quel je suis venus coller ("10 €") deux carreaux de 45 cm de coté ("gratuit") une "pierre a parer" qui dans le commerce m’aurai coûte 75 €
et voila le travail. S'il vous prend l'envi de m'imiter laissez dépasser du carrelage comme sur la photo, c'est beaucoup plus facile pour le déplacer sa pèse "deux tonnes".
Voici mon plan de travail, en bois de palette bien sur, remarquez les deux petite lampes extrêmement maniables, l'une a socle et l'autre a pince et bien plus pratique qu'une lampe d'architecte ou de bureau pour ce type d’activité qui vous permettront d'éclairer la surface de travail au plus prêt en évitant l'ombre porté de vos mains pendant l"exécution.
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Il y a deux choses sur les quels je vais devoir m'exprimer.
La première,
c'est que j ai commencé dans la vie avec un C.A.P. de bijoutier, a ce titre je vais vous confier un secret que seul les très bons artisans connaissent. Quant vous montrez un bijoux a un professionnel consciencieux, la premiers chose qu'il fait, c'est de retourner l'objet pour regarder la qualité d’exécution de la parti que personne ne verras jamais, celle qui est caché ou en contacte avec votre corps.
Elle doit être d'une qualité égale a celle qui est montrée.La deuxième,
c'est que l'art sacré ce distingue entre autre de l'art profane de part le fait qu'il n'y a pas de signature, ou en tout cas qu'elle ne ce voit pas, cela pour indiquer que l’ego est sous contrôle qu'il est maîtrisé et a était dressé par la discipline, cela est le thème principale des art martiaux, des art spirituels et de l'art de vivre au sens large en fin de conte...Je ne prétend pas être arrivé a ce niveau de maîtrise mais c'est le chemin que j'ai choisi d'emprunter. Voici donc un nom d'artiste pompeux et un slogan bien prétentieux pour bien ce rappeler de ne jamais s'identifier a ce que l'on fait...
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A cet instemps là en vérité j'était atteint d'un mal sourd et pesant qui n'avait fait que ce renforcer depuis plusieurs jours. L'assemblage des trois parties et surtout la mise en forme du cuir après trempage dans l'eau tiède n’était pas clair dans ma tète et je redoutais cette opération où tout mon travail de modelage risquait d’être foiré, d'une part le cuir complètement détrempé devient hyper mous et met le modelage a la merci d"une fausse manœuvre, mais aussi parce que je n'avais a ce stade trouvé aucun tutoriaux ressemblant de prés ou de loin a ce que je devait accomplir.
Tous ce que j ai pus apercevoir, concernai des selles beaucoup plus plate que la mienne dont la fixation a la base ce faisait soit par coutures, par rivets, ou tressage sur une pièce bien plate de cuir venant épouser le fond métallique de la selle.
Pire je ne voyais que des mises en forme ou une foi mouillé les bords du cuir sont maintenus a l'aide de presses utilisant des contres moule ou des serres joints pendant 24 heures, rien qui puisse me rassurer sur le déroulement ou la stratégie a adopter pour mon cas précis
Apres avoir passé ma pièce de cuir a l'eau chaude sous la douche et préparé un gros coussin imperméabilisé pour ne pas l’abîmer pendant que j’appuierai dessus, j'ai commencé par les bord les plus allongés que j ai agrafé sur mon plastique dur, puis après avoir essayé l'avant et l’arrière j'ai vite compris que j allai devoir inciser le cuir car les bourrelés étaient beaucoups trop gros pour venir gentiment s'aplatir d'eux même sur la surface plate.
L'avant fut beaucoup plus facile a faire et je ne tardai pas a poser les agrafes.
Mais l’arrière m'a angoissé jusqu'au derniers instemps et j ai bien crus ne jamais y arriver.A la fin de la matiné je regardai tristement ces horribles bourrelé et constatai que j avais tellement tiré sur le cuir que les jolis motifs avaient perdu quasiment tous leur relief.
Mais j'y était quant même arrivé.
Il faudra attendre plusieurs jours pour que le cuir soit complètement sec.
De plus en séchant le cuir ai censé se tendre et durcir. Durant la manœuvre j'ai complètement oublié de vérifier certaine rectitudes ou symétries, ici la tresse de derrière n'est pas parfaitement droite.
Ce bord ci est également légèrement plus haut que l'autre, mais si je ne le dit pas personne ne s'en aperçoit.
Le motif centrale a ma grande surprise n'a pas souffert des étirements que je lui ai fait subir.
Le tressage que je voulais serré c'est distendu mais rien de bien méchant.
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Bien on passe a la suite, la teinture ce n'est pas de la peinture. Cela ne ce dépose pas sur la surface mais sa pénètre a l’intérieure de la matière.
Une foi teint l'eau ne pénètre plus suffisamment pour ramollir et mettre en forme du cuir, dommage car le travail de précision au pinceau est plus facile sur une surface plate qu'en volume.Ecolo oblige les nouvelles teintures sont a l'eau, oui mais j'ai remarqué que tous les anciens travaillaient a l'alcool, j ai donc choisi la valeur sur, en plus j'adore l'odeur qu'elles ont quant on ouvre le bouchon...
J'ai remarqué également qu'il existait un diluant, j'en est déduit qu'on pouvais éclaircir chaque couleur de teinture pour faire des dégradés. Ce qui offre une liberté d'action bien plus grande que tout ce que j'ai pus voir en vidéo ou les gars travaillent soit a l'éponge soit au tampons de coton, et quant ils prennent le soin d’appliquer au pinceau ce sont des aplats unis, alors qu'il est tout a fait possible de nuancer les teintures voir de les mélanger grâce au diluant. Bien sur c'est dix fois plus de boulot mais le résultat n'a plus rien de comparable.
Faites gaffes aux nuanciers de couleurs sur internet, ils sont soit trop clair ou trop foncé par rapport aux vrais couleurs.
Çà c'est la Rolls-Royce des pinceaux
Pinceau rond Raphaël Kolinsky S série 8404 en martre Kolinsky
je refuse de travailler avec autre chose, c'est même pas la peine d'y penser, et là je parle pas en débutant, après mon C.A.P. de bijoutier je suis immédiatement rentré comme styliste en haute joaillerie chez "Van Cleef & Arpels" excusé du peut, j'avais 21 ans. Pour votre gouverne les bijoux sont dessinés et peints a l’échelle 1 soit, grandeur nature.
Ces teintures, diluant comprit, possèdent un pouvoir de capillarité extraordinaire, je ne m'y attendais pas du tout, il est impossible de les manipuler comme de la gouache ou de l'acrylique, elles ressemblent plutôt a de l'encre, cela explique en parti pourquoi je n'est vue nulle part la technique d'illustrateur que j'ais utilisé.
La conséquence de cette capillarité c'est qu'il faut éviter de trop charger le pinceau, ensuite , des que l'on rentre en contacte avec le cuir, celui ci aspire comme une éponge la teinture tel un buvard, ce qui rend très difficile de diriger l’exécution d'un travail de haute précision.
Mais grâce au diluant et en y allant petit a petit c'est pas impossible.
Je n'avais commandé que deux couleurs, acajou (mahogany) plus rouge que prévu, et saddle tan et elles ce mélangèrent pas si mal que sa.
Le résultat m'enthousiasmé tellement que je me demandé si cela valé vraiment la peine de passé le fond en noir comme prévu ? j'avais peur de tout gâcher.
La difficulté avec la technique que j'ai utilisé était de garder intacte et vierge de toute bavures des parties du cuir avec sa couleur naturel blanc cassé.
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N'étant toujours pas décidé sur la couleur de fond du motif principale, qui je le rappelle devais être noir, je décide de tester la teinture acajou que je trouve un peut trop rouge a mon gout sur les cotés de la selle.
Grosso modo sa passe bien
Bien sur j'ai pas pus m’empêcher de jouer avec le sanddle tan et d'épargner le bord des motifs afin de souligner le dessin de base.
On peut voir sur ces deux gros plans qu'il est presque impossible d'éviter les bavures dés que l'on arrive sur des motifs trop fin ou trop rapprochés. Mais je fini par m’habituer a la couleur acajou finalement.
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Finalement ma décision est prise ce sera l'acajou en couleur de fond d'autant plus qu'il me restera tjrs la possibilité de passer le noir par dessus si cela ne me convient pas.
A ce stade là je ne sait tjrs pas comment je vais traiter les flammes.
Une animation de surface typique du cuir comme je les aimes en background.
Il m'aura fallut environ trois semaines de travaille sans conté le temps passé en auto formation sur le net, et la recherche du matériel, cuir et outil a commander .
Mais le résultat est au delà de celui es conté.
Meme si parfois j'ai eu la sensation d'avoir placé la barre un peut trop haut pour un premier essai.
J'encourage bien sur tout le monde a ce jeter dans l’expérience, comment ne pas penser maintenant a une paire de sacoche, ou un etui a cigarette...
A j'allai oublier, normalement l'or de la pose du cuir sur la mousse on doit mettre de la colle, j ai complètement zappé l’opération. Mais le cuir est tellement tendu que cela ne manque pas.
Maintenant mon plus gros problème, c'est que j ai certainement une des Harley les plus pourri de l’île avec une selle qui vas pas du tout avec....., ;-)
Au moins l'ancienne était assorti.
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Mon vieux réservoir d'essence est rouillé de l’intérieure et de l’extérieure, il y a déjà plusieurs année que mon mécano m'a demandé de le changer.
Régulièrement je le purge d'une essence couleur caca d'oie quant sa démarre plus et c'est reparti jusqu’à la prochaine foi...C'est le début de la fin, il en a plus pour longtemps, alors je me lâche, après les soudures a l’éteint pour boucher les trous de la passoire, j'en ai profité qu'il était démonté pour lui faire une séance de maquillage.
Comme l'ambiance est au trash et que la mort rode, j'ai mis les points sur les I.
Dans un monde où la mort est le chasseur,
il n’y a de temps ni pour le doute ni pour le regret.
Il n’y a que des décisions à prendre, peu importe lesquelles.
Aucune chose n’est plus sérieuse qu’une autre.
Dans un monde où la mort est le chasseur,
il n’y a pas de petites ou de grandes décisions.
Il n’y a que celles que le guerrier prend face à l’imminence de sa mort.
C"est du fait main a la maison, donc forcément les deux coté du réservoir sont pas pareil
La mort est partout.
La mort, ce sont les phares d’une voiture arrivant en haut d’une côte, derrière soi.
Ils sont visibles pendant un moment,
puis ils disparaissent comme s’ils avaient été balayés dans la nuit;
ils réapparaissent un instant plus tard au sommet d’une nouvelle côte,
et s’évanouissent à nouveau.
Ce sont les lumières que la mort porte sur sa tête.
La mort les place comme on met un chapeau,
puis elle s’en va au galop, pour nous rattraper,
s’approche de plus en plus.
Parfois la mort éteint ses feux. Mais elle ne s’arrête jamais.
Sa change de l’aérographe qui a mon gout a tendance a uniformiser la patte des l'artistes.
La mort est notre éternelle compagne.
Elle est toujours à notre gauche, à un bras de distance derrière nous.
La mort est la meilleure conseillère pour un guerrier.
Quand il sent que tout va mal et qu’il est sur le point d’être anéanti, il peut se tourner vers sa mort et lui demander conseil.
Sa mort lui dira qu’il a tort, que rien n’a d’importance en dehors d’elle-même.
Et sa mort lui dira: “Je ne t’ai pas encore touché”.
En plus ta bécane a moins d’être arrêté, les passants la vois 3 seconde maxi, alors les détails...
Seule l’idée de la mort rend l’homme suffisamment détaché au point qu’il soit capable de s’abandonner à quoi que ce soit.
Il sait que sa mort le traque et qu’elle ne lui laissera pas le temps de s’accrocher à quoi que ce soit;
donc,
sans s’attacher,
il vit pleinement chaque chose.
La au moins on la vois bien et de loin la Tète de Mort, puisque c'est a la mode ne soyons pas timide.
La mort est une spirale, la mort est un rayon de soleil perçant à travers les nuages:
la mort c’est moi qui vous parle;
la mort, c’est vous et votre carnet de notes; la mort, ce n’est rien.
Rien! Elle est là, et pourtant elle n’est pas là du tout
Mème moi j'ai peur...
Du livre « La roue du temps », de Carlos Castaneda
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"J'ai déjà reçu le pouvoir qui gouverne ma destinée,
Je ne m'accroche à rien, pour n'avoir rien à défendre,
Je n'ai pas de pensées, pour pouvoir VOIR,
Je ne crains rien, pour pouvoir me souvenir de moi-même,
L'Aigle me laissera passer,
Serein et détaché, jusqu'à la Liberté"...
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Speed painting du réservoir d'essence au pinceau.
Sans conscience de la mort, tout est ordinaire, insignifiant.
C'est seulement parce que la mort nous traque que le monde est un mystère insondable.Le critère pour savoir si tu est mort , c'est quand tu ne te soucies plus d’être seul ou accompagné.
C.C.
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Comme je l'ai déjà dit, j'ai pris beaucoup de plaisir a réaliser ce travail.
Cela prend du temps et tout le monde n'en a pas.
C'est donc avec plaisir que j'offrirai mes services a qui le souhaiterai.
Je suis a l'écoute de vos projets en suivant les liens ci-dessous.
ci-joint une adresse mail et un N° de tel.
téléphone : Fixe: 0262 57 26 63 (Ile de la Reunion)
Par mail : jjdejade@orange.fr
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